Née pour l'aimer !
Même si les lois de la terre jurent de s’y opposer, moi je continuerai à l’aimer,
Même si les vents de l’ouest changent de direction, ils ne pourront m’arrêter,
Même si mes rêves demeurent accrochés au ciel et n’aboutissent jamais, je lui referai les mêmes gestes et je lui redirai les mêmes mots encore et encore sans hésiter,
Même en plein délire, je reconnaîtrai sa voix, son visage et l’ombre de sa chevelure ;
Que je paraisse singulière ou clandestine, cela ne changera en rien mes tendres et sincères pensées
Que je devienne « l’autre » qui frôle l’infranchissable, je crois que c’est pour cette raison que je suis créée !
Que ma philosophie semble étrangère, et que ma rime risque d’être refusée, l’écho de sa voix embrase comme un feu de camp, les arbres de ma forêt.
Je ne prendrai que le chemin qui va vers elle
Je ne choisirai que l’élixir de son parfum
Je compterai les secondes qui me séparent d’elle
Je ferai de son nom le plus beau des refrains
Et à mon chevet, quand la mort frappe à ma porte, je jurerai devant dieu que jamais mon âme n’a pu un jour adoré une chose d’aussi fort comme la tendresse de ses mains !
Même si les vents de l’ouest changent de direction, ils ne pourront m’arrêter,
Même si mes rêves demeurent accrochés au ciel et n’aboutissent jamais, je lui referai les mêmes gestes et je lui redirai les mêmes mots encore et encore sans hésiter,
Même en plein délire, je reconnaîtrai sa voix, son visage et l’ombre de sa chevelure ;
Que je paraisse singulière ou clandestine, cela ne changera en rien mes tendres et sincères pensées
Que je devienne « l’autre » qui frôle l’infranchissable, je crois que c’est pour cette raison que je suis créée !
Que ma philosophie semble étrangère, et que ma rime risque d’être refusée, l’écho de sa voix embrase comme un feu de camp, les arbres de ma forêt.
Je ne prendrai que le chemin qui va vers elle
Je ne choisirai que l’élixir de son parfum
Je compterai les secondes qui me séparent d’elle
Je ferai de son nom le plus beau des refrains
Et à mon chevet, quand la mort frappe à ma porte, je jurerai devant dieu que jamais mon âme n’a pu un jour adoré une chose d’aussi fort comme la tendresse de ses mains !